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Les nouveautés de la rentrée hiver 2021

Littérature

20,00

Un appartement vide : c’est ce que trouve Nathan quand il vient chercher son petit garçon chez son ex-femme. Très vite, il doit se rendre à l’évidence : Jun est rentrée au Japon, son pays natal, avec Léo. À l’incompréhension succède la panique : comment les y retrouver, quand tant d’ autres là-bas courent en vain après leurs disparus ? Et que faire de ces avertissements que lui adresse son entourage : même s’il retrouve leur trace, rien ne sera réglé pour autant ?

Entre la Bretagne où il tente d’épauler Lise, elle aussi privée de son fils, et un Japon qu’il croyait connaître mais qu’il redécouvre sous son jour le plus cruel, Nathan se lance dans une quête effrénée. En retraçant l’itinéraire d’un père confronté à l’impensable, Olivier Adam explore la fragilité des liens qui unissent les parents et leurs enfants.


16,00

« Mon garçon, je dois te parler de Carla. De l’année de mes quinze ans, quand avant toi je me suis retrouvé à l’arrière de la voiture de mon père, avec cette sensation de cœur en lambeaux et cette envie folle d’en finir. Au cours de sa vie, on croit souvent mourir à cause des autres. Et un jour on prend conscience que les autres n’ont rien à voir avec ça. Tu verras. »

Dans son nouveau roman, Xavier de Moulins nous embarque sur la route, celle qui sépare et réunit, un jour ou l’autre, un père et son fils.


19,00

« Demain, gare de Lyon, départ à 9h37. T’es contente ? Je ne savais pas si j’étais contente ou pas. Je trouvais que tout allait trop vite. Je ne pourrais dire au revoir à personne, ne pourrais me réjouir quelques jours auparavant à l’idée du départ. Pourtant, j’ai répondu Oui. Parce que je sentais, peut-être pour la première fois, que ma mère n’était pas prête à écouter mes états d’âme. Papa, il est au courant ? Laisse ton père où il est. Il verrait d’un mauvais œil que je te fasse rater les derniers jours de classe. Il me ferait la morale, et la morale, je n’aime pas ça. »

Cet été-là, Agathe le passe échouée sur une plage de la Côte d’Azur au côté d’une mère dont la folle excentricité l’inquiète. Cette dernière la presse de grandir vite et la petite fille devine qu’elle a quelque chose d’urgent à lui dire. Mais quoi ? Emportée dans le sillage de cette mère-poisson, ce n’est que des années plus tard, en déroulant le souvenir à vif de ces jours pleins de bruit et de fureur, qu’elle le découvrira enfin.


18,00

« Souviens-toi, maman : nous étions tes enfants. »

C.K.

C’est l’histoire d’une grande famille qui aime débattre, rire et danser, qui aime le soleil et l’été.

C’est le récit incandescent d’une femme qui ose enfin raconter ce qui a longtemps fait taire la familia grande.

Camille Kouchner, 45 ans, est maître de conférences en droit. La Familia grande est son premier livre.


Le Livre de poche

8,40

Lors de la messe de funérailles d’un célèbre chef d'orchestre, sa fille, Ariane, pianiste de renommée internationale, entame contre toute attente une oeuvre écrite pour violon et orchestre : l’Opus 77 de Chostakovitch. Tous ceux qui comptent dans le monde de la musique classique sont réunis. Tous, sauf David Claessens, le fils, violoniste prodige en son temps et désormais reclus dans un bunker. Pendant qu'elle joue, Ariane se souvient : son enfance avec son frère dans cette famille vouée à la musique, l'exigeant apprentissage du piano pour l'une, du violon pour l'autre, leur relation complexe avec leur père, la lente destruction de leur mère, chanteuse lyrique peu à peu réduite au silence… Et surtout les pièges de la dévorante célébrité, la pression et la peur de faillir, la compétition impitoyable et les règles d'un microcosme qui ne tolère aucune déviance à ses normes.

Le lecteur est entraîné dans un tourbillon de haine et d’amour d’une violence âpre et sèche. Libération.