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13,00

34 ans… non… si je compte la fac, 5 ans de plus… et le secondaire, 7 ans… et l'école, 5 ans… et la maternelle : + 2… 53 ans que, élève, étudiante, enseignante, je suis dans l'Éducation nationale. De la disparition de l'estrade à l'arrivée du numérique, des concours aux cantines, des mutations insidieuses aux réformes à marche forcée, ce livre tente une traversée de l'institution — sans se retenir d'en rire, et en tâchant de ne pas trop en pleurer.


À l’heure où Donald Trump quitte la Maison Blanche et que les États-Unis entrent dans une nouvelle ère, America tire sa révérence avec un dernier numéro agrémenté pour l’occasion d’un poster inédit et d’une vingtaine de pages supplémentaires. Dans ce 16ème opus, retrouvez d’abord un grand entretien avec l’écrivain irlando-américain Colum McCann qui nous avait fait l’honneur de participer au premier numéro. Persuadé du rôle déterminant de la littérature, l’auteur livre ses inquiétudes nouvelles mais aussi ses espoirs face à l’inconnue de ces années post-Trump. Alors que Joe Biden vient d’être élu 46ème président, America s’interroge sur l’avenir de l’Amérique à travers des portraits de figures démocrates, un reportage sur le devenir du trumpisme ou encore un essai sur les GAFA, les autres maitres du pays. Autre temps forts de ce numéro, un conte fantastique inédit de la star de la BD Emil Ferris inspiré de la trouble période du confinement, une nouvelle de l’immense écrivain Ernest Hemingway, encore jamais publiée en France, ainsi que le parti pris de l’auteure Rachel Kushner qui imagine la conclusion minable de la relation entre le fils de Donald Trump et sa petite amie, métaphore du désamour du pays pour la défaite en hommage au film « Shame ».


Presses universitaires de France

19,00

La situation est inédite. Jamais, dans l'histoire de l'humanité, nous n'avons disposé d'autant d'informations et jamais nous n'avons eu autant de temps libre pour y puiser loisir et connaissance du monde. Nos prédécesseurs en avaient rêvé : la science et la technologie libéreraient l'humanité. Mais ce rêve risque désormais de tourner au cauchemar. Le déferlement d'informations a entraîné une concurrence généralisée de toutes les idées, une dérégulation du « marché cognitif » qui a une fâcheuse conséquence : capter, souvent pour le pire, le précieux trésor de notre attention. Nos esprits subissent l'envoûtement des écrans et s'abandonnent aux mille visages de la déraison. Victime d'un pillage en règle, notre esprit est au coeur d'un enjeu dont dépend notre avenir. Ce contexte inquiétant dévoile certaines des aspirations profondes de l'humanité. L'heure de la confrontation avec notre propre nature aurait-elle sonné ? De la façon dont nous réagirons dépendront les possibilités d'échapper à ce qu'il faut bien appeler une menace civilisationnelle. C'est le récit de cet enjeu historique que propose le nouveau livre événement de Gérald Bronner.


Enquête sur un pouvoir méconnu

Flammarion

19,90

Vous vous sentez différent des autres.
Vous êtes bousculé par trop d’émotions, trop de pensées, trop de sensations.
Vous vous en voulez de ne pas être calme, raisonnable, zen.
En réalité, vous avez un don. Apprenez à l’exploiter.

Je suis hypersensible et, pour comprendre ce qui m’arrive, j’ai mené une enquête. J’ai rencontré des spécialistes de différentes disciplines, des scientifiques, des neurologues, des physiciens, des anthropologues, des psychologues, des philosophes et des historiens. Je vous livre ici les
éléments de mon voyage au cœur d’un pouvoir méconnu et les moyens à mettre en œuvre pour le déployer.


Le jour où j'ai arrêté de boire

Flammarion

19,90

En France, on s’avoue rarement alcoolique. Quand on boit on est festif, irrévérent, drôle. Français. Un jour pourtant, Claire arrête de boire. Elle prend conscience que cet alcool, prétendument bon-vivant, est en vérité en train de ronger sa vie. Il noyaute ses journées, altère sa pensée, abîme ses relations. En retraçant son passé, elle découvre à quel point l’alcool a été le pilier de sa construction et de son personnage de femme.
Sans alcool est le journal de son sevrage. Un chemin tortueux, parfois rocambolesque, à travers son intimité. Une quête de libération complexe, dans un pays qui sanctifie le pinard. L’autrice affronte son passé, l’héritage familial, le jugement des autres.
Son récit interroge, au-delà de son expérience. Pourquoi boire est une telle norme sociale ? Alors qu’on lui a toujours vendu la sobriété comme le choix des cons et des culs bénis, elle réalise qu’on l’a sans doute flouée. Être sobre est bien plus subversif qu’elle ne l’imaginait.