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De la fin de tout au début de quelque chose

La Découverte

13,00

La Yougoslavie implosait. Les Zapatistes prenaient les armes au Chiapas. Au Rwanda on exterminait en masse. Partout les bulles spéculatives enflaient. La techno et l’ecstasy multipliaient les nuits blanches. La France était reine du football. De grandes grèves réveillaient le mouvement social, et les idéologues qui croyaient avoir vaincu le communisme commençaient à déchanter, pendant qu’Internet balbutiait et qu’un président américain jouait son poste sur une gâterie.
Autre temps, si récent pourtant, que celui où prit naissance notre présent. Car dans l’intervalle entre la chute d’un mur, à Berlin, et l’écroulement de deux tours, à New York, le monde a basculé, avec les certitudes qui le portaient : celles de la fin (de l’Histoire, du social, de la guerre...), vite corrigées par le retour de l’événement, et celles du bonheur néolibéral sans alternative, que les faits comme les nouveaux résistants s’appliquèrent à démonter.
L’ambition de ce livre est d’offrir la première histoire générale, plurielle et engagée de la dernière décennie du XXe siècle : l’ère de la « fin de l’Histoire » avait besoin de son manuel d’histoire, pour y voir s’entrecroiser culture et politique, pop et peuple(s), régressions brutales et nouvelles zones autonomes temporaires – et pouvoir passer, peut-être, de la fin de tout au début de quelque chose.


14,00

Frédéric Lenoir nous offre ici un petit livre qui aide à vivre en temps de crise.
Il convoque neurosciences, psychologie des profondeurs et philosophes, qui nous disent comment développer la sérénité malgré l'adversité. il nous montre également comment cette crise est une opportunité de changer notre regard sur nous-même et d'être mieux relié aux autres et au monde.
« Il a suffi d’un virus lointain pour que le cours du monde et de nos vies soit bouleversé. ‘’Vivre, ce n’est pas attendre que l’orage passe, c’est apprendre à danser sous la pluie’’, disaient les Anciens. Je suis convaincu que plus rien ne sera comme avant et qu’il nous faut apprendre à développer nos ressources intérieures pour vivre le mieux possible dans un monde imprévisible. Puisse ce livre écrit dans l’urgence du temps apporter lumière et réconfort à tous ceux qui le liront. »
F. L.

Dans un langage accessible à tous, Frédéric Lenoir nous propose un petit manuel de résilience qui aide à vivre dans des temps difficiles. Il convoque les neurosciences et la psychologie des profondeurs, mais aussi les grands philosophes du passé – du Bouddha à Nietzsche, en passant par Epictète, Montaigne ou Spinoza - qui nous disent comment développer la joie et la sérénité malgré l’adversité. Et si nous pouvions ainsi faire de cette crise une opportunité pour changer notre regard et nos comportements ? Pour devenir davantage nous-mêmes et mieux nous relier aux autres et au monde ?


28 leçons de vie pour le monde d'après

Albin Michel

16,90

« La pandémie de Covid-19 qui a stupéfié la planète est un avertissement. Et c'est peut-être le dernier : nous sommes allés trop loin dans la destruction des écosystèmes et la maltraitance animale.



Cette revanche de la nature sonne le glas du monde d'hier, dominé par la surconsommation aveugle et l'exploitation immorale du vivant.



Sous la forme d'un journal de bord, ce livre est un cri d'alarme. De l'expérience collective inédite qui a bouleversé nos vies, Aymeric Caron tire, au jour le jour, 27 leçons pour construire le monde d'après. Les demi-mesures et l'écologie de surface ne suffiront pas : ce monde doit être radicalement différent de celui que nous avons connu jusqu'ici. »



Aymeric Caron est journaliste et écrivain. Il a été grand reporter à Canal + et intervieweur dans l'émission « On n'est pas couché ». Il est l'auteur de No steak, Antispéciste et Utopia XXI.


8,00

L’humanité a connu, avant celle du coronavirus, des pandémies plus meurtrières. Mais jamais elle ne s’était ainsi confinée à l’échelle du globe, ni n’avait produit une telle inflation de discours obsessionnels. Bernard-Henri Lévy s’essaie ici, en philosophe, à un bilan d’étape sur cette Première Peur mondiale qui a produit un réel plus invraisemblable que la fiction.
Il ne s’intéresse pas à ce que le virus a « dit », mais à ce qu’on lui a fait dire. Pas aux « leçons » qu’il faudrait en tirer, mais au délire interprétatif où chacun se veut l’augure du « monde d’après » alors qu’il n’a rendez-vous qu’avec lui-même. Il dit sa crainte de voir ce « monde d’après » confisqué par deux forces. Les rentiers de la mort, tyrans de toutes obédiences, qui profiteront de l’urgence sanitaire et du délire hygiéniste pour étrangler leurs peuples ou étendre leurs empires.
Mais aussi les déclinistes, décroissants, collapsologues et autres effusifs de la pénitence qui déguisent leur égoïsme en abnégation et, sous prétexte que rien ne devrait « recommencer comme avant », font tranquillement leur deuil de ce que la civilisation occidentale a de meilleur. Il redoute de voir les confits du confinement, drogués au virtuel et aux écrans, prendre goût au repli sur soi et dire, pour longtemps, adieu au monde.


Se préparer à ce qui vient

Fayard

18,00

«  Après une enquête planétaire, auprès des meilleures sources, souvent confidentielles, j’ai découvert bien des choses sur les causes et les conséquences de cette pandémie.

Certains dirigeants, commettant des erreurs sincères ou mentant à leur peuple, ont, en imitant la Chine, conduit à la mort prématurée de plusieurs centaines de milliers de personnes et coûté plusieurs milliers de milliards à l’économie mondiale. Suivre à temps l’autre voie, celle de la Corée du Sud, aurait coûté beaucoup moins d’argent, épargné des milliers de vies et protégé des centaines de millions de travailleurs.

De tout cela, et de bien d’autres choses que nous aura apprises cette pandémie, en bouleversant nos vies, il faut tirer les leçons. Pour se préparer à ce qui vient  : une crise économique, philosophique, idéologique, sociale, politique, écologique stupéfiante, presque inimaginable  ; plus grave en tout cas qu’aucune autre depuis deux siècles.

Pour ne pas faire souffrir les enfants d’aujourd’hui de la pandémie à 10  ans, de la dictature à 20  ans et du désastre climatique à 30  ans, il faut passer au plus vite de l’économie de la survie à l’économie de la vie. Elle regroupe tous les secteurs qui se donnent pour mission la défense de la vie et dont on constate tous les jours, très pragmatiquement, l’importance vitale, comme  : la santé, la gestion des déchets, la distribution d’eau, le sport, l’alimentation, l’agriculture, l’éducation, l’énergie propre, le numérique, le logement, la culture, l’assurance.

Parce qu’il n’y a pas de vie possible si on n’agit pas tout de suite, dans l’intérêt de toutes les vies, d’aujourd’hui et du futur. Si on ne comprend pas que seul le temps des hommes a de la valeur. Que de passionnants combats à mener  !  »
J. A.