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Les nouveautés du printemps.

Littérature

70 déclarations d'amour à la cuisine maternelle

Stock

19,00

Comme pour retenir le temps qui passe, Eva Bettan a voulu garder «  le goût de sa mère  ».
Recueillir ses recettes est devenu très vite un beau prétexte pour la faire parler de sa vie.
Puis elle est allée vers ceux, connus ou inconnus, dont elle devinait qu’ils étaient aussi des «  fils et des filles de leur mère  ».
Caroline, Daniel, Farideh, Roberta, Jean, Pedro, mais aussi Amin Maalouf , Jamel Debbouze, François Morel, Dominique Blanc, Sami Bouajila, Noémie Lvovsky, Michel Leclerc, Jean-Jacques Zilbermann, Claude Lelouch, Cristian Mungiu, Karine Tuil, Nathalie Léger, David Lopez, Valérie Zenatti, Lydie Salvayre, , Akram Khan, Stéphanie Le Quellec, François-Régis Gaudry, Laure Adler, Ivan Levaï, Edgar Morin…
  À l’invitation d’Eva Bettan, tous se sont plongés dans leurs souvenirs et certains dans les vieux cahiers de recettes transmis. Ils lui ont livré l’enfance, la tendresse maternelle, le bonheur des rites familiaux, mais aussi parfois des pays que l’on a quitté, des vies bousculées. Et parce que souvent revenait, avec une sorte de stupéfaction, la phrase « Je n’ai pas gardé les recettes de ma mère ! », Eva Bettan a complété leurs récits par une recette retrouvée ou réinventée.
 
Ce livre aura aussi une déclinaison radio cet été dans les matinales du week-end de France Inter.


15,00

« Mon dernier frère était comme nous à la différence qu’il parlait mal. Il faut imaginer sa parole comme des fragments abîmés : certains mots sont mal articulés, d’autres sont déformés et parfois incompréhensibles, les derniers sont aussi inutiles que des jouets cassés dans un grenier. »

Séverin est le benjamin d’une fratrie de quatre garçons. Il est autiste, mais personne ne prononce ce mot, peu familier dans les années 1980. Ses parents ont fait le choix de ne pas creuser son écart d’avec le monde et toute la famille cherche à appréhender de manière décalée cette expérience étrange de la parole. Ainsi, la langue de Séverin, difficilement compréhensible, devient une langue partagée, un élément de cohésion. C’est à elle que son frère aîné, Matthieu, rend hommage avec ce roman autobiographique.


19,00

Oh, je n'avais pas la grande forme quand j'ai retrouvé Florence, une ancienne collègue de travail, un soir de concert. J'avais vingt-cinq ans, elle en avait quarante. Elle était enceinte de six mois, et elle était célibataire. Quand Jim est né, j'étais là. Et puis je suis resté. On a passé de belles années ensemble, et j'ai bien cru devenir son père.


23,00

Poème célébrant un personnage ou un événement, parfois poème lyrique destiné à être accompagné de musique : telle est l'ode, selon la définition usuelle.

Il n'est donc pas surprenant que David Van Reybrouck ait intitulé ainsi ce livre, tant il s'inscrit sous le signe de la ferveur, de l'enthousiasme, de la beauté et de l'ardeur, de l'amitié et de la gratitude, de la mémoire et de l'histoire. Et toujours dans les parages de la poésie.

Musique, peinture, danse, esthétique, philosophie, éthique, littérature mais aussi politique, résistance, résilience ; tout ce qui structure la vie et l'oeuvre de cet écrivain engagé, cet historien-archéologue, nous est ici offert en partage.

Écrites entre 2015 et 2018, non pas accompagnées de musique mais introduites par un dessin, le geste au crayon d'un artiste en écho aux mots, à la pensée d'un autre, ces odes peuvent aussi être lues comme une série de pas de deux multipliés à l'envi avec ce et ceux qui comptent pour David Van Reybrouck à un instant donné ou pour sa vie entière.

«Odes» se lit comme une partition sensible, nourrie du regard que pose sur le monde un humaniste engagé.


24,00

Pour beaucoup, ce n'est qu'un nom attribué à l'un des grands courts de Roland Garros. Mais Suzanne Lenglen, invaincue entre 1919 et 1926, est avant tout la première personne à avoir fait du tennis un véritable métier. Côtoyant les plus grands, vivant ses amours avec la même passion que celle qui l'anime sur les courts, elle révolutionne son monde. Cette championne entraînée comme un homme a participé à bien des changements de moeurs qui ont libéré les femmes de conventions bourgeoises d'un autre siècle. Le récit de cette vie intense de trente-neuf années seulement ne laisse pas de surprendre et d'émouvoir par les multiples influences que Suzanne Lenglen exerce encore de nos jours. Gianni Clerici est un journaliste et écrivain italien, spécialiste reconnu du tennis, auteur des Gestes blancs, paru aux éditions Viviane Hamy. Les illustrations et photos inédites qui figurent dans le présent ouvrage sont issues de ses archives personnelles.