- EAN13
- 9782863643105
- ISBN
- 978-2-86364-310-5
- Éditeur
- Parenthèses
- Date de publication
- 19/05/2016
- Collection
- Architecture
- Nombre de pages
- 176
- Dimensions
- 24 x 16,7 x 1,5 cm
- Poids
- 386 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'impossibilité du vide
Une anthologie littéraire des espaces de la ville
De Jean-Charles Depaule
Parenthèses
Architecture
Offres
Cette anthologie propose une promenade dans la ville à travers
la littérature. Celle-ci, en donnant consistance à l’espace qu’elle
nomme, décrit, évoque, invoque, nous en offre une précieuse
intelligence sensible.
Ce n’est pas un panorama, mais une sélection personnelle,
donc subjective. Depuis le début des années 1980, au gré de
ses lectures Jean-Charles Depaule a recueilli ces textes qui, de
James Agee à Émile Zola, en passant par Marguerite Duras,
Jean Echenoz, William Faulkner, Barbara Pym, Francis Ponge
ou Georges Simenon, «disent» des lieux, des gestes, parfois
microscopiques, des rituels, des moments ou des objets de la vie
urbaine. Plutôt qu’à des idées morales ou techniques, voire à des
théories urbanistiques, ils s’attachent à toute sorte de manières
d’habiter et de percevoir la ville et ses territoires quotidiens, de les
découvrir, de les redécouvrir, de se les remémorer ou les oublier,
de les nommer et les imaginer, de les quitter et d’y revenir.
Le lecteur est invité à cheminer de texte en texte, de mot en mot,
à identifier et rapprocher des thèmes, à dessiner des paysages.
Et à prolonger sa promenade littéraire.
Pour favoriser la flânerie, ou une exploration plus méthodique,
les textes qui sont de dimension variable, de quelques mots à
plusieurs paragraphes ou strophes, sont disposés selon des entrées
classées par ordre alphabétique — du mot «abattoir» (Borges)
à «WC» (vu par Nabokov, ou Perec), en passant par «couleur»
(Ed McBain) et «maison» (Mohamed Dib, John Steinbeck).
En outre l’indexation de termes ou expressions, par exemple,
«bâtiment», «escalier», «odeur» « soleil »..., figurant dans
plusieurs textes permet d’enrichir la lecture.
la littérature. Celle-ci, en donnant consistance à l’espace qu’elle
nomme, décrit, évoque, invoque, nous en offre une précieuse
intelligence sensible.
Ce n’est pas un panorama, mais une sélection personnelle,
donc subjective. Depuis le début des années 1980, au gré de
ses lectures Jean-Charles Depaule a recueilli ces textes qui, de
James Agee à Émile Zola, en passant par Marguerite Duras,
Jean Echenoz, William Faulkner, Barbara Pym, Francis Ponge
ou Georges Simenon, «disent» des lieux, des gestes, parfois
microscopiques, des rituels, des moments ou des objets de la vie
urbaine. Plutôt qu’à des idées morales ou techniques, voire à des
théories urbanistiques, ils s’attachent à toute sorte de manières
d’habiter et de percevoir la ville et ses territoires quotidiens, de les
découvrir, de les redécouvrir, de se les remémorer ou les oublier,
de les nommer et les imaginer, de les quitter et d’y revenir.
Le lecteur est invité à cheminer de texte en texte, de mot en mot,
à identifier et rapprocher des thèmes, à dessiner des paysages.
Et à prolonger sa promenade littéraire.
Pour favoriser la flânerie, ou une exploration plus méthodique,
les textes qui sont de dimension variable, de quelques mots à
plusieurs paragraphes ou strophes, sont disposés selon des entrées
classées par ordre alphabétique — du mot «abattoir» (Borges)
à «WC» (vu par Nabokov, ou Perec), en passant par «couleur»
(Ed McBain) et «maison» (Mohamed Dib, John Steinbeck).
En outre l’indexation de termes ou expressions, par exemple,
«bâtiment», «escalier», «odeur» « soleil »..., figurant dans
plusieurs textes permet d’enrichir la lecture.
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