- EAN13
- 9782832106181
- ISBN
- 978-2-8321-0618-1
- Éditeur
- Éditions Slatkine
- Date de publication
- 29/08/2014
- Collection
- ROMAN
- Nombre de pages
- 208
- Dimensions
- 21 x 16 x 2 cm
- Poids
- 420 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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Un jour ou l'autre, le passé finit toujours par nous rattraper...
Héloïse partage sa vie entre son poste d'enseignante en histoire au Collège Calvin et l'éducation de son petit garçon. Un an après le décès de son mari, elle renoue enfin avec son oncle, Aymon Galiffe, descendant d'une illustre lignée d'historiens et grand spécialiste de Napoléon. Au moment où elle croit retrouver goût à la vie, Héloïse est bouleversée par un nouveau drame. Sa famille, en réalité, comptait plus d'ennemis qu'on pouvait le croire. Elle ne devrait pas mener sa propre enquête, mais elle ne peut s'en empêcher. Lentement, au gré de ses découvertes, la jeune historienne fait remonter à la surface le passé français de Genève et voit surtout planer sur la ville... L'ombre de l'Aigle !
Plongez-vous dans ce thriller historique débordant de suspense !
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- « Une jeune enseignante, veuve et mère d'un petit garçon; une illustre famille d'historiens, une disparition... Dans son dernier livre, L'Ombre de l'Aigle, l'écrivaine Corinne Jaquet tisse un thriller subtil et efficace à l'atmosphère pesante avec, en toile de fond, Napoléon et le passé français de Genève (...) » - Elle
- « Sous le Musée, les casemates, la Demi-Lune ? On parcourt la Vieille Ville en surface et en dessous. Haletant et remarquable. » - Le Chênois
- « Un polar où l'histoire régionale joue un rôle essentiel. » - Étienne Dumont – Bilan, la référence suisse de l'économie
- « Ce thriller, vingtième ouvrage de Corinne Jaquet, met à nouveau Genève, sa cité natale, en vedette. Il y a le passé français de la Cité de Calvin. Il y a tous les non-dits familiaux, du sang et des cadavres. Embarquement immédiat afin de fouiller dans le passé mystérieux planant autour de l'ombre de l'Aigle... » - Marie-Claire
À PROPOS DE L'AUTEUR
Politologue de formation, ancienne chroniqueuse judiciaire, Corinne Jaquet aime se dire "journaliste campagne" depuis qu'elle a créé en 1996 le journal de sa commune qu'elle gère au quotidien à côté de son activité de romancière. C'est sans doute ce journalisme "à échelle humaine" qui nourrit ses romans de figures réalistes.
Corinne Jaquet signe ici son deuxième thriller après Aussi noire que d'encre, qui a séduit ses lecteurs. Cet ouvrage est également sa vingtième publication depuis Meurtres à Genève, publié en 1990 aux Éditions Slatkine. Des livres qui, presque tous, mettent sa ville natale en vedette au travers de récits policiers.
EXTRAIT
Ses doigts s'abîmaient à force de les frotter aux murs et aux petites briques rectangulaires qui les constituaient. Impossible de savoir depuis combien de temps elle était enfermée dans cette espèce de caveau sans fin. Par moments, elle percevait des petits glissements, sans doute des rats. Il y en avait sous la ville.
Quand l'angoisse montait, par vagues, elle se forçait à respirer lentement. Son instinct de survie lui disait qu'une panique lui serait fatale. Elle ne savait pas vers quoi elle se dirigeait, mais avancer offrait au moins l'espoir de déboucher quelque part. C'était toujours mieux que l'immobilité.
Elle avait tant cherché ces souterrains, elle avait tellement examiné ces plans, les avaient tournés dans tous les sens et voilà que maintenant, elle en était prisonnière ! Elle parcourut ainsi une trentaine de mètres avant que sa main ne touche le barreau d'un portail.
Héloïse partage sa vie entre son poste d'enseignante en histoire au Collège Calvin et l'éducation de son petit garçon. Un an après le décès de son mari, elle renoue enfin avec son oncle, Aymon Galiffe, descendant d'une illustre lignée d'historiens et grand spécialiste de Napoléon. Au moment où elle croit retrouver goût à la vie, Héloïse est bouleversée par un nouveau drame. Sa famille, en réalité, comptait plus d'ennemis qu'on pouvait le croire. Elle ne devrait pas mener sa propre enquête, mais elle ne peut s'en empêcher. Lentement, au gré de ses découvertes, la jeune historienne fait remonter à la surface le passé français de Genève et voit surtout planer sur la ville... L'ombre de l'Aigle !
Plongez-vous dans ce thriller historique débordant de suspense !
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- « Une jeune enseignante, veuve et mère d'un petit garçon; une illustre famille d'historiens, une disparition... Dans son dernier livre, L'Ombre de l'Aigle, l'écrivaine Corinne Jaquet tisse un thriller subtil et efficace à l'atmosphère pesante avec, en toile de fond, Napoléon et le passé français de Genève (...) » - Elle
- « Sous le Musée, les casemates, la Demi-Lune ? On parcourt la Vieille Ville en surface et en dessous. Haletant et remarquable. » - Le Chênois
- « Un polar où l'histoire régionale joue un rôle essentiel. » - Étienne Dumont – Bilan, la référence suisse de l'économie
- « Ce thriller, vingtième ouvrage de Corinne Jaquet, met à nouveau Genève, sa cité natale, en vedette. Il y a le passé français de la Cité de Calvin. Il y a tous les non-dits familiaux, du sang et des cadavres. Embarquement immédiat afin de fouiller dans le passé mystérieux planant autour de l'ombre de l'Aigle... » - Marie-Claire
À PROPOS DE L'AUTEUR
Politologue de formation, ancienne chroniqueuse judiciaire, Corinne Jaquet aime se dire "journaliste campagne" depuis qu'elle a créé en 1996 le journal de sa commune qu'elle gère au quotidien à côté de son activité de romancière. C'est sans doute ce journalisme "à échelle humaine" qui nourrit ses romans de figures réalistes.
Corinne Jaquet signe ici son deuxième thriller après Aussi noire que d'encre, qui a séduit ses lecteurs. Cet ouvrage est également sa vingtième publication depuis Meurtres à Genève, publié en 1990 aux Éditions Slatkine. Des livres qui, presque tous, mettent sa ville natale en vedette au travers de récits policiers.
EXTRAIT
Ses doigts s'abîmaient à force de les frotter aux murs et aux petites briques rectangulaires qui les constituaient. Impossible de savoir depuis combien de temps elle était enfermée dans cette espèce de caveau sans fin. Par moments, elle percevait des petits glissements, sans doute des rats. Il y en avait sous la ville.
Quand l'angoisse montait, par vagues, elle se forçait à respirer lentement. Son instinct de survie lui disait qu'une panique lui serait fatale. Elle ne savait pas vers quoi elle se dirigeait, mais avancer offrait au moins l'espoir de déboucher quelque part. C'était toujours mieux que l'immobilité.
Elle avait tant cherché ces souterrains, elle avait tellement examiné ces plans, les avaient tournés dans tous les sens et voilà que maintenant, elle en était prisonnière ! Elle parcourut ainsi une trentaine de mètres avant que sa main ne touche le barreau d'un portail.
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