- EAN13
- 9782374982281
- ISBN
- 978-2-37498-228-1
- Éditeur
- Wombat
- Date de publication
- 20/01/2023
- Collection
- INTEMPESTIFS (1)
- Nombre de pages
- 176
- Dimensions
- 18,7 x 12,6 x 1,4 cm
- Poids
- 190 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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… L’immortalité selon Cavanna !
Et si on envoyait la mort se faire voir ailleurs ? Si les progrès de la biologie et du savoir sur les cellules et l’ADN nous permettaient, dans un avenir pas si lointain, de stopper le vieillissement ? Ce processus est-il inéluctable, ou une maladie dont on pourrait guérir ? Car être immortel ne signifie pas ne pas mourir (de maladie ou d’accident), mais bien ne plus être condamnés d’avance par le tic-tac fatal de la dégénérescence.
De 1969 à 2013, dans les pages de Charlie hebdo, Cavanna développa cette réflexion, nourrie de lectures (Jacques Monod, François Jacob…) et d’échanges avec des biologistes (tel Lionel Simonneau, alors jeune chercheur à l’INSERM, qui signe la postface), en abordant aussi le thème de plus en plus présent de l’euthanasie.
Stop-Crève ! Rêverie scientifique farfelue, coup de gueule désespéré, ou but primordial que doit se fixer l’humanité ? Avec gravité et virulence, Cavanna s’attaque à l’ultime tabou et invite à changer notre manière de penser.
Issu d’une famille franco-italienne de Nogent-sur-Marne, François Cavanna (1923-2014) débute comme dessinateur humoristique à l’orée des années 1950, après avoir connu la désolation de la Seconde Guerre mondiale. Avec le futur Professeur Choron, il lance en 1960 le sulfureux mensuel d’humour « bête et méchant » Hara-Kiri, s’entourant d’une équipe de talentueux artistes (Fred, Reiser, Cabu, Gébé, Topor, Wolinski…). Sa version hebdomadaire, L’Hebdo Hara-Kiri, interdite en 1970, donnera naissance à Charlie hebdo.
Devenu le principal chroniqueur de ces journaux, il se révèle au grand public comme un écrivain majeur avec ses récits autobiographiques Les Ritals (1978) et Les Russkoffs (1979, prix Interallié), cycle conclu avec le posthume Crève, Ducon ! (2020). Il signera au total plus de soixante livres, aussi percutant dans le texte d’humour (L’Aurore de l’humanité), le roman historique (Les Fosses carolines) et l’essai (Lettre ouverte aux culs-bénits).
Son humanisme et son rationalisme, sa verve et son humour, sa lucidité et ses « coups de sang » (en faveur du pacifisme, de la laïcité, de l’écologie et de la défense des animaux…), enfin sa lutte incessante contre la bêtise auront marqué plusieurs générations de lecteurs.
Et si on envoyait la mort se faire voir ailleurs ? Si les progrès de la biologie et du savoir sur les cellules et l’ADN nous permettaient, dans un avenir pas si lointain, de stopper le vieillissement ? Ce processus est-il inéluctable, ou une maladie dont on pourrait guérir ? Car être immortel ne signifie pas ne pas mourir (de maladie ou d’accident), mais bien ne plus être condamnés d’avance par le tic-tac fatal de la dégénérescence.
De 1969 à 2013, dans les pages de Charlie hebdo, Cavanna développa cette réflexion, nourrie de lectures (Jacques Monod, François Jacob…) et d’échanges avec des biologistes (tel Lionel Simonneau, alors jeune chercheur à l’INSERM, qui signe la postface), en abordant aussi le thème de plus en plus présent de l’euthanasie.
Stop-Crève ! Rêverie scientifique farfelue, coup de gueule désespéré, ou but primordial que doit se fixer l’humanité ? Avec gravité et virulence, Cavanna s’attaque à l’ultime tabou et invite à changer notre manière de penser.
Issu d’une famille franco-italienne de Nogent-sur-Marne, François Cavanna (1923-2014) débute comme dessinateur humoristique à l’orée des années 1950, après avoir connu la désolation de la Seconde Guerre mondiale. Avec le futur Professeur Choron, il lance en 1960 le sulfureux mensuel d’humour « bête et méchant » Hara-Kiri, s’entourant d’une équipe de talentueux artistes (Fred, Reiser, Cabu, Gébé, Topor, Wolinski…). Sa version hebdomadaire, L’Hebdo Hara-Kiri, interdite en 1970, donnera naissance à Charlie hebdo.
Devenu le principal chroniqueur de ces journaux, il se révèle au grand public comme un écrivain majeur avec ses récits autobiographiques Les Ritals (1978) et Les Russkoffs (1979, prix Interallié), cycle conclu avec le posthume Crève, Ducon ! (2020). Il signera au total plus de soixante livres, aussi percutant dans le texte d’humour (L’Aurore de l’humanité), le roman historique (Les Fosses carolines) et l’essai (Lettre ouverte aux culs-bénits).
Son humanisme et son rationalisme, sa verve et son humour, sa lucidité et ses « coups de sang » (en faveur du pacifisme, de la laïcité, de l’écologie et de la défense des animaux…), enfin sa lutte incessante contre la bêtise auront marqué plusieurs générations de lecteurs.
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