- EAN13
- 9782914704847
- ISBN
- 978-2-914704-84-7
- Éditeur
- Jigal
- Date de publication
- 03/02/2012
- Collection
- Polar
- Nombre de pages
- 300
- Dimensions
- 21 x 14 cm
- Poids
- 400 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
18.77
Fin d'été à Marseille. Tout est réuni pour profiter une dernière fois de sa ville adorée avant le grand pas dans l'inconnu d'un premier boulot à la capitale.
Malheureusement pour Clovis, on est en 1973 et l'arrivée massive de travailleurs venus
de l'autre rive de la méditerranée provoque tensions et crimes dans ces rues plombées par le soleil.
Clovis devra sacrifier sa tranquillité pour la recherche d'un ami disparu mais aussi une recherche dans l'histoire plus ancienne du massacre des italiens survenu 80 ans plus tôt dans les salins de Camargue.
Pourquoi parler de ce livre, sorti il y a plus d'un an ? Mais parce que son titre évocateur nous a semblé bien de saison, pardi !
A vrai dire toute l’œuvre de Maurice Gouiran devrait être chroniquée dans ces pages.
Dans Et l'été finira on retrouve tous les ingrédients qui font la force de Gouiran. Son amour et sa connaissance de Marseille. Marseille telle qu'elle est de l'intérieur et non pas telle que l'on aimerait la voir depuis Paris. Cette vision-là, Gouiran la laisse aux inrockuptibles ou à F.-O. Giesbert. Son Marseille à lui se montre sous des aspects socio-politiques portés par une écriture enlevée et sans fioritures. Et puis, Gouiran y cite R. Linhart et son Etabli. Il n'y a pas de mal à se faire du bien !
Malheureusement pour Clovis, on est en 1973 et l'arrivée massive de travailleurs venus
de l'autre rive de la méditerranée provoque tensions et crimes dans ces rues plombées par le soleil.
Clovis devra sacrifier sa tranquillité pour la recherche d'un ami disparu mais aussi une recherche dans l'histoire plus ancienne du massacre des italiens survenu 80 ans plus tôt dans les salins de Camargue.
Pourquoi parler de ce livre, sorti il y a plus d'un an ? Mais parce que son titre évocateur nous a semblé bien de saison, pardi !
A vrai dire toute l’œuvre de Maurice Gouiran devrait être chroniquée dans ces pages.
Dans Et l'été finira on retrouve tous les ingrédients qui font la force de Gouiran. Son amour et sa connaissance de Marseille. Marseille telle qu'elle est de l'intérieur et non pas telle que l'on aimerait la voir depuis Paris. Cette vision-là, Gouiran la laisse aux inrockuptibles ou à F.-O. Giesbert. Son Marseille à lui se montre sous des aspects socio-politiques portés par une écriture enlevée et sans fioritures. Et puis, Gouiran y cite R. Linhart et son Etabli. Il n'y a pas de mal à se faire du bien !
S'identifier pour envoyer des commentaires.