- EAN13
- 9782262083014
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 25/11/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Perrin 24,00
De l'honneur ou du malheur d'avoir affronté l'Empereur.
Grandes-duchesses, reines ou impératrices, elles furent toutes souveraines.
Elles s'appellent Marie-Louise, Joséphine, Élisa, Auguste-Amélie, Stéphanie,
Hortense, Louise, Catherine, Élisabeth, l'impératrice Marie-Louise, Marie-
Caroline, Caroline. Certaines l'étaient de famille immémoriale, d'autres le
devinrent par la seule volonté de cet homme devant qui tout pliait. Elles
connurent le faste des cours, le sommet de la fortune, mais aussi les errances
dues aux guerres incessantes, parfois même la prison. De l'Espagne à la
Sicile, de la Toscane à la Russie, mais aussi en Bavière, dans les duchés de
Wurtemberg et de Bade, dans le royaume de Prusse et dans le Saint Empire, ces
douze souveraines nous permettent de parcourir l'Europe au gré des conquêtes
puis des défaites napoléoniennes. Leurs mariages furent rarement le fait de
leur volonté, mais ceux qui furent imposés ne furent pas toujours les plus
malheureux. Certaines sont encore très célèbres, d'autres sont inconnues du
grand public. Toutes ont vu leur destin bouleversé par la tornade impériale.
Certaines perdirent tout en 1815, d'autres retrouvèrent leur souveraineté à la
faveur du congrès de Vienne. Qu'ils soient admiratifs ou sévères, ce sont
douze regards qui ont scruté Napoléon. Nous pouvons retrouver leur jugement
souvent respectueux, parfois impitoyable, mais jamais indifférent, à travers
une correspondance abondante, toujours en français. Chacune a tenu son rôle,
politique ou simplement dynastique, mais aucune n'a laissé Napoléon
insensible.
Grandes-duchesses, reines ou impératrices, elles furent toutes souveraines.
Elles s'appellent Marie-Louise, Joséphine, Élisa, Auguste-Amélie, Stéphanie,
Hortense, Louise, Catherine, Élisabeth, l'impératrice Marie-Louise, Marie-
Caroline, Caroline. Certaines l'étaient de famille immémoriale, d'autres le
devinrent par la seule volonté de cet homme devant qui tout pliait. Elles
connurent le faste des cours, le sommet de la fortune, mais aussi les errances
dues aux guerres incessantes, parfois même la prison. De l'Espagne à la
Sicile, de la Toscane à la Russie, mais aussi en Bavière, dans les duchés de
Wurtemberg et de Bade, dans le royaume de Prusse et dans le Saint Empire, ces
douze souveraines nous permettent de parcourir l'Europe au gré des conquêtes
puis des défaites napoléoniennes. Leurs mariages furent rarement le fait de
leur volonté, mais ceux qui furent imposés ne furent pas toujours les plus
malheureux. Certaines sont encore très célèbres, d'autres sont inconnues du
grand public. Toutes ont vu leur destin bouleversé par la tornade impériale.
Certaines perdirent tout en 1815, d'autres retrouvèrent leur souveraineté à la
faveur du congrès de Vienne. Qu'ils soient admiratifs ou sévères, ce sont
douze regards qui ont scruté Napoléon. Nous pouvons retrouver leur jugement
souvent respectueux, parfois impitoyable, mais jamais indifférent, à travers
une correspondance abondante, toujours en français. Chacune a tenu son rôle,
politique ou simplement dynastique, mais aucune n'a laissé Napoléon
insensible.
S'identifier pour envoyer des commentaires.