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Elizabeth P.

Conseillé par
22 juin 2018

Angelo, vénitien de 24 ans, est amoureux fou de la célèbre actrice Giorgia Demeter, depuis l’âge de 12 ans.
Il la suit partout, collectionne tout ce qui la concerne, lui a consacré une pièce dans la demeure familiale.
Elle, malgré tous ses succès, a une vie privée désastreuse.
Plongés dans l’ambiance de Venise, on suit avec passion la vie de ces deux là.
C’est une belle histoire, comme est belle Marina Vlady
L’écriture est élégante, comme elle l’est.
Elle a du talent comme actrice, et tout autant comme écrivain.
C’est le troisième livre que je lis d’elle, et le plaisir est toujours au rendez-vous

8,70
Conseillé par
22 juin 2018

Les quatre enfants de la famille Guerindel font d’horribles cauchemars depuis des années.
Toujours les mêmes personnages, les mêmes situations.
Grâce au recherches de l’un d’eux, Lunaire, quatorze ans, on va rentrer dans es secrets de famille et s’apercevoir que tous ces rêves sont liés aux ancêtres de la mère.
On est en plein dans l’inconscient transgénérationnel.
C’est une histoire angoissante, complexe. De quoi appréhender de fermer les yeux ce soir !
Entre Dinan et Saint-Malo, on entre dans la vie des marins pêcheurs de la famille.
De vieilles personnes font ressurgir leur passé pour éclairer Lunaire.
Il est difficile de croire que les quatre enfants d’une même famille puissent être aussi fortement impactés par leurs ancêtres, mais l’histoire est prenante et bien menée.
On est dans un univers étrange et captivant servi par une belle écriture au rythme particulier.

Traduit de l'italien par Myriem Bouzaher

Grasset

20,00
Conseillé par
22 juin 2018

Ouf ! Vite…. respirer en fermant la dernière page, contempler la nature, apprécier les gens et la vie.
Parce qu’on revient de loin
Une période post-apocalyptique où un virus tue tous les individus de plus de quatorze ans, où tout est brûlé, saccagé.
Et cette brave petite Anna qui tente de survivre tout en s’occupant de son petit frère.
Elle ne manque ni de cran ni de volonté. Elle est acharnée à vivre. C’est une boule d’espoir, rien ne l’arrête.
J’aime beaucoup Niccolo Ammaniti (et autant sa traductrice Myriem Bouzaher) et les enfants qu’il fait vivre.
Ici il nous emmène dans un futur proche de l’enfer.
Bien que n’aimant pas en général les romans d’anticipation, je n’ai pu qu’être sensible au sort d’Anna et de son frère.
Certains passages sont angoissants, d’autres plus optimistes.
Bien que contente d’être sortie de ce cataclysme, j’aurais aimé que ça continue un peu pour savoir ce qu’il advient d’Anna ensuite, ça s’arrête un peu trop brutalement.

Quelques secondes après la mort, fantaisie

Gallimard

24,50
Conseillé par
14 juin 2018

Dans un lieu indéfinissable, blanc, se retrouvent sept femmes qui ne se connaissent pas. Ilsemblerait qu’elles soient mortes.
50 pages à ne strictement rien comprendre
50 autre puis, l’histoire de Rosa Imaculada retient mon attention.
D’autres passages délirants suivis des histoires des autres filles.
Sont-elles en enfer ? Sont-elles au ciel ?
C’est très bien écrit mais beaucoup trop alambiqué et hermétique pour moi.
J’ai survolé une multitude de pages, peiné sur beaucoup d’autres. Seuls quelques moments m’ont semblé compréhensibles.
J’espère que d’autres lecteurs seront plus réceptifs car c’est un livre ambitieux qui mérite certainement l’intérêt de certains.

Quai Voltaire

21,00
Conseillé par
14 juin 2018

Clare a eu deux maris et vit maintenant provisoirement avec Joshua.
Décidément, j’ai souvent du mal avec la littérature anglaise.
Trop de descriptions, trop de verbiage, pas vraiment d’intrigue.
Et c’est bien le cas ici.
Je me suis profondément ennuyée en compagnie de Clare et de ses déboires amoureux.
A tel point que je ne saurais jamais ce qui se passe dans les cent dernères pages que je n’ai pas eu la force de terminer.
J’ai refermé le livre sans regrets.