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Alex-Mot-à-Mots

https://alexmotamots.fr/

Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

4,60
Conseillé par
10 mai 2011

Voici un roman petit par la taille, mais grand par la douceur. Douceur de l'amour d'une maman perdue, douceur d'un amour retrouvé ; douceur de l'amitié et du souvenir.

Mais aussi silences : silence de la narration qui laisse s'épanouir l'amour ; mais aussi silence des arrestations et de la dictature.

Tout est dans le titre : la boucherie et sa violence ; les amants et leur amour.

Albin Michel

21,90
Conseillé par
10 mai 2011

Où l'on retrouve le commissaire Camille Verhoeven, revenu exceptionnellement travailler sur une affaire d'enlèvement avec son ancienne équipe.

Les chapitres alternent entre l'histoire de l'enquête et celle d'Alex. Mais Alex n'est pas une victime d’enlèvement comme les autres. Une fois qu'elle s'est elle-même libérée, elle retourne à son ancienne activité. Non, je ne vous en dirais pas plus.

Un final moins en apothéose que le premier opus, mais des personnages plus forts : Armand est toujours aussi pingre à faire rire mais a un grand coeur, Louis toujours aussi bien élevé, et Camille.... toujours aussi petit.

L'auteur a su me mettre mal à l'aise lors des interrogatoires des suspects, les membres de la brigade se retrouvant face à des murs. Crispant comme ambiance.

Et puis le "traumatisme" d'Alex à l'origine de sa course folle est un calvaire qui n'est dévoilé qu'à l'extrême limite.

Mais une fois encore, la stratégie du personnage principal est un sans faute, un régal de manipulation.

L'image que je retiendrai :

Celle d'Alex changeant d'apparence pour mieux se faire oublier dans l'esprit de ses victimes. Je m'arrête là, après j'en dirai trop.

Conseillé par
10 mai 2011

Voici un roman très "flou" et qui m'a toujours laissé à distance : les souvenirs de Bruno sont vagues et ses motivations tout autant.

Quelle importance qu'il soit manchot, au final ? Quels sont ses activités de commerçant ?

Certes, le propos est beau : ne croyant plus ni à Dieu ni à diable, les survivants de la Shoah se voient proposer par Bruno une halte avec de la musique classique et la lecture de la Torah. Certains reviendront à la vie, d'autres pas, qui deviendront à leur tour plein de violence et de fureur. Triste constat....

Un titre très beau, toutefois, et tellement vrai : non, la fureur ne s'est pas encore tue.

L'image que je retiendrai :

Celle du château que rénove Bruno pour accueillir les déportés et qui résonne de musique.

Conseillé par
10 mai 2011

D'abord le titre : ne chercher pas un quelconque temple dans cette histoire, il n'y en a pas, ou alors, comme les personnages, je ne l'ai pas trouvé. Quelle horreur cette traduction. Le titre original était : "The Venitian...", ce qui lui convient beaucoup mieux, étant donné que la moitié de l'action se déroule à Venise. Mais c'est vrai que c’est beaucoup moins vendeur....

Passons maintenant au roman lui-même : je n'ai toujours pas compris quel était le prénom de Cotton Malone, mais c'est un moindre mal.

En revanche, j'ai appris pleins de chose sur Alexandre le Grand, ainsi que sur les us et coutumes de son époque.

Mais j'ai trouvé l'intrigue peu convaincante : des savants auraient trouvé le remède au SIDA. Un peu gros et peu crédible.

Éditions Gallmeister

23,30
Conseillé par
10 mai 2011

Fan des années 1990, ce livre est pour vous. Du coup, j'ai été un peu larguée, ma culture musicale s'arrêtant avec Nirvana.

Ceci dit, c'est un thriller politiquement incorrect et qui m'a collé une paranoïa d'enfer.

Des personnages déjantés : Taylor Schmidt est une presque nymphomane ; son colocataire est un looser ; le locataire du dessous ne paye pas de mine et tout est à l'avenant.

Si l'intrigue commence doucement, les 50 dernières pages sont palpitantes : qui tente de tuer qui et pourquoi ? Ont-ils réussi ?

Les théories sur les baby-boomers d'Asher Krueg sont à se tordre de rire et la théorie du complot est toujours à l'oeuvre.

Un roman plaisant à l'atmosphère des années 90, entre le "grand n'importe quoi des années 80" (sic) et le 11 septembre. Vous avez dit Génération X....

L'image que je retiendrai :

Celle de la ville de New-York en pleine transformation.