- EAN13
- 9782234073906
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 13/02/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Yellow birds
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Emmanuelle et Philippe Aronson
Kevin Powers
Stock
Autre version disponible
-
Papier - Stock 20,90
Bartle, 21 ans, est soldat en Irak, à Al Tafar. Depuis l’entraînement, lui et
Murph, 18 ans, sont inséparables. Bartle a fait la promesse de le ramener
vivant au pays. Une promesse qu’il ne pourra pas tenir… Murphy mourra sous ses
yeux et hantera ses rêves de soldat et, plus tard, de vétéran.
Yellow birds nous plonge au coeur des batailles où se déroule la vie du
régiment conduit par le sergent Sterling. On découvre alors les dangers
auxquels les soldats sont exposés quotidiennement. Et le retour impossible à
la vie civile.
Kevin Powers livre un roman fascinant sur l’absurdité de la guerre, avec une
force aussi réaliste que poétique.
« Kevin Powers a écrit le À l’ouest rien de nouveau des guerres américaines en
terre arabe. »
Tom Wolfe
« Un premier roman puissant et émouvant. »
New York Times
« Essentiel. À lire absolument. »
The Guardian
« Littéraire, sobre et envoûtant. »
Time Magazine
« Dévastateur. »
Damian Lewis, Homeland
Murph, 18 ans, sont inséparables. Bartle a fait la promesse de le ramener
vivant au pays. Une promesse qu’il ne pourra pas tenir… Murphy mourra sous ses
yeux et hantera ses rêves de soldat et, plus tard, de vétéran.
Yellow birds nous plonge au coeur des batailles où se déroule la vie du
régiment conduit par le sergent Sterling. On découvre alors les dangers
auxquels les soldats sont exposés quotidiennement. Et le retour impossible à
la vie civile.
Kevin Powers livre un roman fascinant sur l’absurdité de la guerre, avec une
force aussi réaliste que poétique.
« Kevin Powers a écrit le À l’ouest rien de nouveau des guerres américaines en
terre arabe. »
Tom Wolfe
« Un premier roman puissant et émouvant. »
New York Times
« Essentiel. À lire absolument. »
The Guardian
« Littéraire, sobre et envoûtant. »
Time Magazine
« Dévastateur. »
Damian Lewis, Homeland
S'identifier pour envoyer des commentaires.