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J'aurais préféré m'appeler Dupont

Guillemette le Vallon de la Ménodière

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  • Conseillé par
    9 août 2014

    je veux pas être une "de" !!

    C'est toujours la même histoire : l'enfant qui regarde ses parents comme des étrangers et qui forcément croit qu'il a été adopté tellement il est différent...physiquement et dans sa façon d'être ...
    Voilà, c'est aussi une femme qui replonge dans ses souvenirs et qui raconte son enfance, et force est de constater qu'elle n'assume pas son milieu, c'est tellement mieux chez les autres, et surtout quelle idée toutes ses manières, cette éducation bien comme il faut, ce nom, ridicule forcément et les préjugés...Alors oui, comme tous les enfants elle se projette dans la vie de ses amies de classe et la classe des milieux populaires,
    Des faits déjà vus et racontés, des anecdotes amusantes et le regard d'un adulte sur son enfance et ses frustrations..
    Un style Nicole de Buron, à lire entre deux, en vacances...


  • Conseillé par
    2 juillet 2014

    Vite lu, vite oublié...

    Georges Perec dans son roman La disparition, n'utilise jamais la lettre e. G. Le Vallon de la Ménodière, elle, omet systématiquement le ne dans les négations. Procédé littéraire ? Volonté de faire peuple ? Très rapidement, cela devient horripilant et parasite la lecture.
    L'auteur, aristocrate, se rêve prolétaire et essaie successivement de se faire adopter par la famille du chauffeur de car ou par celle du charcutier !
    Dénigrement systématique d'un mode de vie, charge lourde contre les siens, ce livre au style très pauvre n'apporte rien à personne. L'auteur crache son venin... C'est son droit mais il n'y a pas là matière à un livre !